Il est déconseillé d’utiliser un balai dans l’atelier de menuiserie ! Pourquoi ?

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La nocivité des poussières générées lors des processus de fabrication en atelier de menuiserie, n’est plus à démontrer. Elles peuvent induire des maladies respiratoires et cutanées. Le dépôt continu, répété, de poussières dans les voies respiratoires supérieures peut être à l’origine de cancers naso-sinusiens. Les poussières fines qui peuvent atteindre le poumon profond peuvent y provoquer des lésions graves comme la fibrose pulmonaire. De plus, les poussières de bois peuvent provoquer des lésions d’irritations au niveau de la peau, des muqueuses et entrainer des phénomènes allergiques, comme de l’eczéma, une rhinite ou de l’asthme. Pour limiter la propagation de ces poussières, les machines à bois sont quasi toutes équipées de capots d’aspiration qui sont eux-mêmes raccordés au réseau d’aspiration de votre atelier de menuiserie. Cependant, malgré tous les efforts pour capter ces poussières à la source, certaines se retrouvent dans l’air puis sur le sol. Pour nettoyer l’atelier, l’utilisation d’un balai classique a pour effet de disperser ces fines poussières de bois dans l’air, en suspension, et donc elles se retrouveront sans aucun doute respirées par les personnes se trouvant dans l’atelier de menuiserie.


La solution : le capteur balai pour dépoussiérer le sol de votre lieu de travail.

Pour éviter cela il est préférable d’aspirer le sol de votre atelier et non de le balayer. Il y a plusieurs possibilités pour aspirer efficacement le sol. Vous pouvez utiliser un aspirateur « ménager » en version professionnelle, ou alors mettre à profit le système d’aspiration centralisé de votre atelier de menuiserie. C’est l’option la plus facile d’utilisation et la plus pratique à mettre en œuvre. Il convient pour cela d’utiliser un capteur balai, équipé de roulettes, raccordé à l’aide d’un tuyau souple d’aspiration à votre réseau de gaines d’aspiration pour menuiserie. La gaine flexible d’aspiration d’un diamètre de 100 mm, est fixée au capteur balai à l’aide d’un collier de serrage, et d’autre part, elle est raccordée au réseau d’aspiration. Pour ce faire il faudra avoir préalablement, sur le réseau de gaines en acier galvanisé, installé une dérivation avec un piquage en diamètre de 100 mm, puis un clapet de fermeture à glissière pour être en mesure de fermer le flux d’air d’aspiration lorsque le capteur balai n’est pas utilisé. Après le clapet de fermeture, il conviendra de fixer un manchon pour tuyau flexible, sur lequel il est aisé d’enfiler la gaine souple. Le tuyau flexible d’aspiration peut être obtenu en différentes longueurs, jusqu’à un maximum de 10 mètres, généralement. Plus le tuyau est long, plus il y aura de la perte de charge, et donc moins d’efficacité d’aspiration. Il est possible de commander la longueur de tuyau flexible voulue. Le capteur balai est équipé de deux roulettes en PVC, ainsi que d’une poignée. Il a une hauteur totale de 1.220 mm, et l’ouverture basse d’aspiration est de 300 par 20 mm. Le tout est réalisé en acier peint. Différents modèles existent sur le marché.

Tous les accessoires, y comprit le capteur-balai, sont disponibles sur le site de ducomat.com

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